mardi 25 octobre 2011

Peut être me manque t il cette sensation de vide pour avoir envie de construire!


2007


mon amour
ce n est pas les1000 m2 qui m impression chez toi
ton courage est bien plus grand que ça
et tu es plus que tolérant.
peut être me manque t il cette sensation de vide pour avoir envie de construire!
peut être suis je lâche, fainéante, peureuse .
peut être n ai je pas de but de vie .
peut être ai je envie de regarder danser la lumière dans tes yeux quand tu ris
peut être ai je envie de toucher ses cheveux qui bouclent sur ta nuque.
peut être ai je envie de te te voir marcher en direction du parc dans tes chaussures carterpillar et me dire c lui j en suis sure.

peut être rien de tous ça

juste la peur de te décevoir

je t aime



jeudi 1 septembre 2011

Ce que j’aime dans la montagne

Ce que j’aime dans la montagne c’est son exigence sauvage ,ses hameaux , poches d’insectes presque frileuses aux pieds de massif caractériel,(comme celui de la Meije ou jeune homme je fis quelques récoltes périlleuse de ce miel rouge et visqueux du St foins vigoureux des alpages) ,ce que j’aime dans la montagne ce sont ces terrasses de cultures ou le motoculteur est roi et ou les pépites sont des pommes de terres arrachées à la rigueur ,ce que j’aime dans la montagne, c’est que l’homme s’y mesure à sa ténacité, ce que j’aime dans la montagne c’est mon premier chagrin d’amour, une maison accroché au flanc du Vercors au bout d’un chemin qui ne mène nulle part ,vendu pour trois fois rien parce qu’ « on en avait besoin »..Une déchirure comme une gorge profonde d’où remonte le bruit d’un ruisseau..
Ce que j'aime dans la montagne c'est le souvenir de ta main dans la mienne avec nos yeux sans larmes qui alors savaient regarder loin ..

jeudi 25 août 2011

A Montmartre

A Montmartre, rue Caulaincourt,
assis sur un banc, les bras ballant,une femme blonde me parle de la douceur de l' hiver,

je fait la queue pour du pain ,pour un bon St Marcelin ou pour rien,

A Montmartre rue Caulaincourt,

je suis redevenu le porteur d’eau de grands voyages,je souris en marchant au souvenir d'un regard à Venise,d'une odeur à Lomé, mon coeur délivré de tous ses mystères a oublié l’erreur qui le tuait lentement,

A Montmartre, rue Caulaincourt,

un viaduc passe au dessus d’un cimetière,j’y ai retrouvé un brin d’herbe de l'ancien monde pour écrire sur les feuilles de ma nouvelle invention

A Montmartre rue Caulaincourt, café Francoeur j'ai pris des habitudes qui m'attendaient sans toi , tu t’évanouis dans le tourbillon du café noir de ma mémoire et mon regard ne te cherche plus, nulle part ....

Et quand vient le soir, dans ma chambre je prépare deux coussins un bordeaux imprimé imitation satin,un coton tissé ,je les ajuste et au milieu je prépare un nid douillet pour y recevoir un petit livre de poème que j’installe délicatement comme un bébé chat à qui on fait découvrir la douilletterie du monde ,la poésie est un art qui ne raconte pas d’histoire , et alors pour moi et moi seul , les rondeurs de mon coeur deviennent fulgurantes, le secret des lunes transparent et là avec moi et moi ,je me sens redevenir ...
Fini les souvenirs douloureux de nos bacchanales, je vois revenir les grands voyages à travers les steppes ,les odeurs de propolis, le bruissement de l’eau sous les doigts ,de nouveau je me sens rempli ...

A Montmartre ....

mercredi 24 août 2011

Tout redeviendra grand et immense







Tout redeviendra grand et immense
les terres simples et les eaux ridées,
Les arbres géants et les très petits murs;
et dans les vallées, fort et multiple,
un peuple de bergers et d’agriculteurs .
Et plus d’églises, qui enserrent
Dieu comme un fuyard, et qui se lamentent sur lui
ainsi qu’un animal pris au piège et blessé,-
à ceux qui frapperont à la porte les maisons se feront accueillantes
et une senteur d’offrande sans limite
dans toutes les mains et en toi et en moi.
Aucune attente de l’au-delà et aucun regard vers l’ailleurs,
que désir, surtout de ne pas profaner la mort
et se faire humble serviteur des choses de la terre,
et de n’être plus chaque fois nouveau à ses mains

RILKE

mardi 23 août 2011

Il est revenu le bel orgueil





Il est revenu le bel orgueil qui fait fait l'oeil perçant et le coeur tendre









Je l’ai retrouvée cette légèretée qui fait venir les chevaux sous la caresse, l’oreille détendue,la tête dans ma main le regard au loin à regarder rien, cette légèreté qui fait braire mes ânes tourbillonnant dans un nuage de poussière, cette légèreté qui virevolte dans la brise des pâtures du crépuscule et qui se dépose comme une plume sur le sourire de tes joues, cette légèreté qui m’accompagne moi et mes chiens dans le brouillard du soir jusqu'à ce que la nuit tombe,jusqu'à ce que l'on jette le dernier morceau de bois et que l’on se dise qu'il il est tard ,et alors on rentre se coucher pour se mettre les oreilles bien au chauds contre l'oreiller serré et l'on s'endort dans le soupir du bonheur.


Je l'ai retrouvé cette légèreté ..











Presle !





samedi 20 août 2011

Je croyais que je faisais parti de toi


Je croyais que je faisais parti de toi comme toi de moi Que j’étais un morceau de ton continent ,que si une partie de moi disparaissait tout ton être en serait irrémédiablement lésé mais il n 'en était rien le glas a sonné et il ne fut que pour moi , maintenant que ma vie à retrouvée cette légèreté ,cette sensualité qui lui manquait tant ,ta mort ne me diminuerai en rien ...Voilà je l’aurai pratiqué au moins une fois ta nouvelle loi ; mais elle ne m'intéresse pas.




mercredi 17 août 2011

J’avais un coeur infiniment vrai

J’avais un coeur infiniment vrai avec du sublime dedans qui peut se transformer en pognon pas en chiqué comme le sien et celui de tant d’autres qui l’entourent .Je ne demandais pas mieux que de m'intéresser pécuniairement à ses histoires vaseuses bien qu'elle m’apparaissait comme une fille assez ahurie par moments,sa conviction semblait réelle et digne d'être encouragée , je mis 15 000 euros dans son affaire en plus de ce qu'elle me coutait tous les jours pour qu'elle joue à la jolie marchande derrière son comptoir ,

Toute la journée rivée sur son ordinateur elle cherchait la nouvelle idée meilleure ,je finançais une affaire imaginaire ,moi qui m'etais toujours nourris que de vrai ,mais moi aussi je la trouvais jolie derrière son comptoir ,j'aurai pu supporter son vent dans les voiles plus longtemps même avec son arrogance et sa jalousie sur mes amours de tous les jours car après tout je l'aimais même si en plus de bouffer mon pognon elle criait ,mais la grande crise arriva ,le bateau commença à tanguer il fallait lâcher du lest , je devins mauvais comme un petit épicier , je ne pouvais plus financer des affaires imaginaires je la quittais ,je l'entend encore hurler dans l'entrepôt je te le rendrais ton sale pognon , crier donne l'illusion d'être fier ,bien sur elle ne me remboursa jamais trouvant toutes les bonnes excuses que les escrocs se trouvent pour ne pas payer les petits épiciers comme moi qui commencent à avoir du poil dans les oreilles ....Rapidement le coucou changea de nid ,il se mit avec un autre ,plus jeune ,un héritier ,rencontré sur internet ,fils d'un peintre bien connu dans sa province , petits fours vernissages , gâteaux et l'on se rêve de nouveau au centre du monde sans avoir payé son ticket .

Je me retrouvais comme une vieille pute qui avait viré son gigolo...avec des retours de mélancolie ..



lundi 15 août 2011

Je reviens vers vous

Je reviens vers vous
je retombe lourdement sur terre
Après un voyage dans un paradis d'enfer .
Je reviens à la rugueuse réalité ,
J’avais disparu dans les bras d'une chimère
considérez que j'étais en voyage
en voyage au cœur de l'humain
et que de la bas il est très difficile de donnez des signes de vie ....
J’avais baissé les armes ,
Pardonnez moi,de vous avoir oublié
J’étais victime d’un charme
Je l’ai rompu.
Je reviens vers vous
Ou en étions nous ?

dimanche 17 juillet 2011

A oui nous en étions là .

2005


J’ai bien reçu ta belle lettre, les années se succèdent, elles érodent l’inutile, elles rapprochent de l’essentiel, les bagarres tombent d’elles mêmes et les horizons s’évanouissent,….c’est la vie, oui la vrai vie car toutes ces choses nous rapprochent de la simplicité.

Et puis quelle leçon d’humilité avec Marina Tsvetaieva ,une écriture fidèle à l’essentiel,car au fond que nous importe ses gamelles,ce qui nous reste c’est le poète et c’est ce qui lui importait le plus ,le reste c’est des hommes qui tuent des hommes qui tuent des hommes qui tuent des hommes .La force des êtres habités c’est cela,il résiste à la misère comme au confort et je me demande s’il n’est pas plus facile de résister à la première et si ma chance n’a pas été de ne pas en avoir .

Mes petites affaires vont, elles vont …..Mais pas à la vitesse théorique .Il m’a fallu me bagarrer avec les potentats locaux .La justice n’est pas de ce monde ; Enfin après avoir été spolié de mes droits sur le terrain désiré.


  • J’ai réussi à acheter un terrain de 3500 M2 dans la zone industrielle (En bordure d’une vigne et d’un bois)

  • J’ai obtenu un permis de construire pour construire un second ENTREPOT

  • Je suis en train de déposer un permis de construire pour y construire une maison bois

  • (L’objectif étant d’y vivre l’hiver prochain)

  • Je n’ai que 20 000 euros de Travaux à trouver pour boucler mon Budget 2005

  • Je n’ai pas touché à mes noisettes pour l’hiver.

  • Je n’ai pas obtenu le financement pour construira mon dépôt que vais faire à la petite semaine

  • Le terrain qu’on a concédé à me vendre nécessite une centaine de camion pour être correctement remblayé

  • Je n’ai pas encor trouvé un autre petit business pour compléter mes revenus ;


Mais avec le temps tout cela se fera !


J’aime bien ta lettre, bien que quelques ombres planent dessus


Je sens toujours cette présence qui me plait bien, garde là malgré les tourments


Je t’embrasse bien fort

Ludovic

2006

De jour en jour je reporte silencieux un lourd projet, certains de mon entourage s'esbaudissent de mon courage !
De mon courage à faire seul de mes mains un bâtiment. de 1000 M2
Moi qui suis si peu manuel !
Ce n'est pas là le vrai courage , je le sais depuis trop longtemps, au moins depuis un matin d’Afrique sahélienne, près du Lac Tchad, à la frontière du Nigeria et du Cameroun.Je n'avais plus rien j'étais seul,pauvre,amaigri,je regardai au loin un décors semi désertique que chacun peut imaginer,et de tout mon corps j'ai senti que cela n'étais ,rien du tout,que même cela n'effaçait pas cette étrangeté au fond de mon corps cette étrangeté que seul la poésie pouvait apaiser.. Et je suis repartit, j’ai traversé la frontière à pied ...De l'autre coté un taxi Jaune, Fêla Guti a fond, le grand d'un frère noire, le décor qui défile a 100 à l'heure travers la fenêtre sur un tapis de goudron, d’autre péripéties ...De nouveau les lumières de pétrole, les couvertures qu'on te prête, le system D.J’avais 20 ans
Je suis un peu las, las de travailler seul, las d'être seul, las de fermer les parenthèses, craintif aussi, pas prêt pour affronter et les joies et les tourments.
C'est long la vie de fourmi,
Encore quelques projets coûteux m'obligeant à gérer au plus près, à reporter encor mon confort…

Coûteux surtout en temps
La seul chose qui m'est déplu c'est ton courrier intempestif à mon goût, déjà oublié et le ton de ta voix dur parfois
J'ai bien reçu la robe et t'en remercie
Je t'envoie la carte de la plateforme par courrier demain
Juste un manque d'oxygène passager
c'est de la mécanique
Une nuit par mois le prix à payer.
Je suis content que tu sois bien à écrire
J'attends mon retour,ma rencontre face au tableau des mots
Avec la même subjectivité que Marina à propos du Théâtre
Et avec la même belle intolérance
Je crois profondément que la poésie est le seul art littéraire

samedi 11 juin 2011

L'art bazard


Pourquoi on ne lit plus de poésie ?
Parce qu’il n’y a plus de héros
Pour gravir toutes ses nuances
De son théâtre de souffrance à ses clairières de lumières
De son engouffrement toutes veines dehors à sa merveilleuse nonchalance
Il n’y a plus d’yeux ,plus d’oreilles pour tout ça

Il n’y a plus que des artistes Viadeo Golfe Drouaut Facebooker à la galerie la «foirfouille» tel que le «peintre» qui m’a écrit ça ..

«Ludovic Seguin...Je n' ai rien contre toi mais comme tu le sais, CB me dit tout et je vois que j' en prends pour mon grade, moi et mon père.Ca fait un an et demi que tu nous emmerde avec ton phrasé pompeux et tes citations qui témoignent de ton peu de créativité.Je comprends que tu t'ennuies mais c 'est pas une raison pour ennuyer les autres. Alors arrêtes...laisse nous tranquille...barres toi de notre vie.Nous on est heureux, si toi tu ne l' est pas , c 'est pas de notre faute, tu es vieux, tu as le sentiment d' avoir raté ta vie mais ce n 'est vraiment pas à nous qu’ 'il faut en vouloir.
Tu deviens un clown , nous avons encore ri de tes récents mails et de vos 2 dernières conversations téléphoniques.Il faut que tu arrêtes maintenant, que tu passes à autre chose, car tu ne t'en rends pas compte mais tu deviens ridicule et risible. Tu as le droit de te penser grand et intelligemment supérieur mais n' inflige pas ceci aux autre par pitié. Ce que tu pense de moi, de Céline, cela ne nous touche pas, cela ne nous intéresse pas. Mais comment faire comprendre ca à un simple d’esprit…Tu alimentes, à chaque intervention, notre libido, d’ une force impensable, merci, encore merci, j’ attends avec impatience ta réponse, en espérant que ma sémantique te convienne. Je sais que tu n’es pas très regardant sur les fautes d orthographe car tu en fais beaucoup.
Oh et puis, cerise sur le gâteau, je dois t’ avouer que Céline et moi, on jette souvent des regards sur tes blogs et que celui ou tu ressorts des sms datants de matusalem, nous font presque pitié, tu frises le sol tel un rat mort, faut il en rire ou en pleurer…on sait pas trop en fait…tu est petit, très petit, tout petit. Tu ne vaut rien, tu vies dans le passé. Crées, ne critique pas, vas de l’ avant.Tu nous ennuie au final, tu te répètes…..comme un et SXit qui se meurt. Oublies nous, oublies la, c’est le maitre mot mais on pense que tu es trop faible pour ca.Amicalement,R  S et C B.»
On viole votre coeur on vous escroque quinze mille euros et faudrait qu’on ferme sa gueule merveilleuse époque ou les improductifs associés, les fils à papa impuissants veulent dicter leurs lois aux producteurs de richesses, aux créateurs de leur univers, merveilleuse époque ou les incapables commandent et pillent avec arrogance ceux qui les font vivre ..Quel richesse avez vous créer pour nourrir la collectivité ,aucune ! 36 ans de parasitisme social et d’oisiveté molle et vous osez aboyer ! Merveilleuse époque ou le faible veut commander au fort ! Ou le chien mort la main de celui qui le nourrit ....
A oui au fait désolé d’avoir attaqué ton petit papa architecte véreux , grand prix de mes couilles au panthéon de la mièvre bourgeoisie indigène , désolé pour toi petit chérubin avorton chauve dépressif qui a attendu que je finisse de baiser ta future dulcinée pour soigner ton impuissance médicamenteuse ...Content que je réveille ta petite libido mais pense à m’envoyer un cheque pour cela ...Quand on gratte la croute du pompier on trouve l'égout ,ce qui définit l’homme c’est le style , le style brut ,la matière essentielle le voila révélé le style profond de ce marchand de rêve idiot,le voila son vrai style une rivière de merde . (A oui détail si un jour on se rencontre décline ton identité car je ne te remarquerai sans doute pas, j’ai toujours tes menaces de mort par devant moi car c’est sur on aurait du mal à faire de toi un portrait témoin tellement tu ressembles à rien ) Moi je vend pas de rêve , partout dans le monde je vend du vrai ,de l’humeur  du sang et du foutre et du pain avec au milieu de tout cela quelques espoirs de grandeur . 
Pour la petite histoire j’ai du porter plainte ,ainsi ses appels cessèrent, le blog remplit de chiasse logorrhéique à mon encontre fut retiré , elle eut quand même le culot de me rappeler ! Quand on prête à l' autre des choses qu'ils n'a pas il le ne faut pas être surpris qu' il vous rende rien . Dans cette époque en toc elle avait la grâce et l'élégance d'une michtonneuse des sentiments je la verrai encore longtemps jouer la marchande souriante et complice derrière son comptoir , brulant les quinze milles euros du pauvre «pequeno prétentieux» sortit du fin fond de l'Isère que j’étais qui croyait avoir le pouvoir de transformer une courge en carrosse doré .»Bienfait pour sa gueule à celui là ça lui apprendra à ce vieux con» Jubilait le R  S   Idiot. Elle, elle est voulait une vie de rien, et c’est tant mieux elle est retournée à rien ,fallait pas la déranger car comme les assis elle eu alors des agitations d’hargnosités vagues ; non définitivement non , toute vie n’est pas vécue , il y a des vies sans histoires, des vies de rien, de tellement rien, de tellement sans histoire qu’elles disparaissent sans que personne ne s’en aperçoive ,ces petite vies confuses, mélangées, ordinairement lâches, ordinairement paresseuses, d’une telle ordinaire mauvaise foi qu’il y a rien à en raconter .Comment ai je pu faire une erreur aussi grossière fallait il que mes sens soit endormit j’en ai rencontré des caves mais comme celle ci c’est le «ponpon» sans doute l'âge .Mon instinct me le disait pourtant bien qu’il y avait quelque chose qui puait la dedans ,heureusement cela ne m’a couté que 15 000 euros ,(Mais je lâcherai pas le morceau), j’en connais à qui ça a couté beaucoup plus , on ne joue pas avec la sueur de mon front ça m’enrage comme un loup à qui on veut voler sa part chassée .Vous puez plus qu’un troupeau de hyène ...
                               
Il faut reconnaitre que s’il ne se prenait pas pour un artiste le «monsieur» serait un bon artisan ,mais comme les bons faussaires «monsieur» a des ambitions ...Mais ce qui gâte tout c’est ce genre d'écrit, là il s’est dévoilé, révélé telle qu’en lui même ; cela m’a inspiré cette critique entre deux apéros

Critique de «l’art bazar»

«Nous les SX et autres peintre de réseaux sociaux ,nous les nouveaux «sous Canaleto» héritiers de la tradition des Grands pompiers et des grands «pompeurs» devant l'éternel

Nous sommes devenus lâches et paresseux
Et nos mots quand parfois nous écrivons ne sont plus qu’un jet désordonné d’invectives ordurières venues du fond noire d’une âme avortée ...
Nous n’avons connu ni guerres ni grandes causes,
L’opulence a éteint nos élans.
Sans rien à combattre,sans raison de périr
nous somme mous lâche et arrogants,
Chauve à trente cinq ans et sans enfant ,
Gros tiques suffisants et dépressifs
avec comme seul rêve de continuer à vivre une petite vie de rien....
Une vie volée aux guerriers Mongols et Bassars et à tout ceux qui portent, tirent, poussent le monde sur le bord des routes
Nous ne l’avons pas méritée , nous n’avons rien mérité mais nous voulons tout et à moindre pris même la beauté !....Mais quand elle nous voit ,effarée  elle fuit .........
Alors l’effroi nous vient face à la laideur de notre humanité,et nous gribouillons des petits cauchemars qu’on prend pour du Lovercraft, on continue nos petites déprimes jusqu'au jour ou nous inventons un bonheur de pacotille plein de Staff et de Stucs en croyant enfin plaire , mais il indiffère ...
Alors on cri à l’injustice de ne pas être dans les tablettes,
Et l’on se console avec quelques demis mondains qui achètent nos croutes du bout de leurs doigts gourds .
Puis on se regroupe en petites tribus cachées dans la foret internet ou l’on s’aime et se console dans des amours «onanistes» ...
Pendant que partout De Lomé à Guandzou la sueur et le courage continue de peindre et d'écrire le monde...