samedi 11 juin 2011

L'art bazard


Pourquoi on ne lit plus de poésie ?
Parce qu’il n’y a plus de héros
Pour gravir toutes ses nuances
De son théâtre de souffrance à ses clairières de lumières
De son engouffrement toutes veines dehors à sa merveilleuse nonchalance
Il n’y a plus d’yeux ,plus d’oreilles pour tout ça

Il n’y a plus que des artistes Viadeo Golfe Drouaut Facebooker à la galerie la «foirfouille» tel que le «peintre» qui m’a écrit ça ..

«Ludovic Seguin...Je n' ai rien contre toi mais comme tu le sais, CB me dit tout et je vois que j' en prends pour mon grade, moi et mon père.Ca fait un an et demi que tu nous emmerde avec ton phrasé pompeux et tes citations qui témoignent de ton peu de créativité.Je comprends que tu t'ennuies mais c 'est pas une raison pour ennuyer les autres. Alors arrêtes...laisse nous tranquille...barres toi de notre vie.Nous on est heureux, si toi tu ne l' est pas , c 'est pas de notre faute, tu es vieux, tu as le sentiment d' avoir raté ta vie mais ce n 'est vraiment pas à nous qu’ 'il faut en vouloir.
Tu deviens un clown , nous avons encore ri de tes récents mails et de vos 2 dernières conversations téléphoniques.Il faut que tu arrêtes maintenant, que tu passes à autre chose, car tu ne t'en rends pas compte mais tu deviens ridicule et risible. Tu as le droit de te penser grand et intelligemment supérieur mais n' inflige pas ceci aux autre par pitié. Ce que tu pense de moi, de Céline, cela ne nous touche pas, cela ne nous intéresse pas. Mais comment faire comprendre ca à un simple d’esprit…Tu alimentes, à chaque intervention, notre libido, d’ une force impensable, merci, encore merci, j’ attends avec impatience ta réponse, en espérant que ma sémantique te convienne. Je sais que tu n’es pas très regardant sur les fautes d orthographe car tu en fais beaucoup.
Oh et puis, cerise sur le gâteau, je dois t’ avouer que Céline et moi, on jette souvent des regards sur tes blogs et que celui ou tu ressorts des sms datants de matusalem, nous font presque pitié, tu frises le sol tel un rat mort, faut il en rire ou en pleurer…on sait pas trop en fait…tu est petit, très petit, tout petit. Tu ne vaut rien, tu vies dans le passé. Crées, ne critique pas, vas de l’ avant.Tu nous ennuie au final, tu te répètes…..comme un et SXit qui se meurt. Oublies nous, oublies la, c’est le maitre mot mais on pense que tu es trop faible pour ca.Amicalement,R  S et C B.»
On viole votre coeur on vous escroque quinze mille euros et faudrait qu’on ferme sa gueule merveilleuse époque ou les improductifs associés, les fils à papa impuissants veulent dicter leurs lois aux producteurs de richesses, aux créateurs de leur univers, merveilleuse époque ou les incapables commandent et pillent avec arrogance ceux qui les font vivre ..Quel richesse avez vous créer pour nourrir la collectivité ,aucune ! 36 ans de parasitisme social et d’oisiveté molle et vous osez aboyer ! Merveilleuse époque ou le faible veut commander au fort ! Ou le chien mort la main de celui qui le nourrit ....
A oui au fait désolé d’avoir attaqué ton petit papa architecte véreux , grand prix de mes couilles au panthéon de la mièvre bourgeoisie indigène , désolé pour toi petit chérubin avorton chauve dépressif qui a attendu que je finisse de baiser ta future dulcinée pour soigner ton impuissance médicamenteuse ...Content que je réveille ta petite libido mais pense à m’envoyer un cheque pour cela ...Quand on gratte la croute du pompier on trouve l'égout ,ce qui définit l’homme c’est le style , le style brut ,la matière essentielle le voila révélé le style profond de ce marchand de rêve idiot,le voila son vrai style une rivière de merde . (A oui détail si un jour on se rencontre décline ton identité car je ne te remarquerai sans doute pas, j’ai toujours tes menaces de mort par devant moi car c’est sur on aurait du mal à faire de toi un portrait témoin tellement tu ressembles à rien ) Moi je vend pas de rêve , partout dans le monde je vend du vrai ,de l’humeur  du sang et du foutre et du pain avec au milieu de tout cela quelques espoirs de grandeur . 
Pour la petite histoire j’ai du porter plainte ,ainsi ses appels cessèrent, le blog remplit de chiasse logorrhéique à mon encontre fut retiré , elle eut quand même le culot de me rappeler ! Quand on prête à l' autre des choses qu'ils n'a pas il le ne faut pas être surpris qu' il vous rende rien . Dans cette époque en toc elle avait la grâce et l'élégance d'une michtonneuse des sentiments je la verrai encore longtemps jouer la marchande souriante et complice derrière son comptoir , brulant les quinze milles euros du pauvre «pequeno prétentieux» sortit du fin fond de l'Isère que j’étais qui croyait avoir le pouvoir de transformer une courge en carrosse doré .»Bienfait pour sa gueule à celui là ça lui apprendra à ce vieux con» Jubilait le R  S   Idiot. Elle, elle est voulait une vie de rien, et c’est tant mieux elle est retournée à rien ,fallait pas la déranger car comme les assis elle eu alors des agitations d’hargnosités vagues ; non définitivement non , toute vie n’est pas vécue , il y a des vies sans histoires, des vies de rien, de tellement rien, de tellement sans histoire qu’elles disparaissent sans que personne ne s’en aperçoive ,ces petite vies confuses, mélangées, ordinairement lâches, ordinairement paresseuses, d’une telle ordinaire mauvaise foi qu’il y a rien à en raconter .Comment ai je pu faire une erreur aussi grossière fallait il que mes sens soit endormit j’en ai rencontré des caves mais comme celle ci c’est le «ponpon» sans doute l'âge .Mon instinct me le disait pourtant bien qu’il y avait quelque chose qui puait la dedans ,heureusement cela ne m’a couté que 15 000 euros ,(Mais je lâcherai pas le morceau), j’en connais à qui ça a couté beaucoup plus , on ne joue pas avec la sueur de mon front ça m’enrage comme un loup à qui on veut voler sa part chassée .Vous puez plus qu’un troupeau de hyène ...
                               
Il faut reconnaitre que s’il ne se prenait pas pour un artiste le «monsieur» serait un bon artisan ,mais comme les bons faussaires «monsieur» a des ambitions ...Mais ce qui gâte tout c’est ce genre d'écrit, là il s’est dévoilé, révélé telle qu’en lui même ; cela m’a inspiré cette critique entre deux apéros

Critique de «l’art bazar»

«Nous les SX et autres peintre de réseaux sociaux ,nous les nouveaux «sous Canaleto» héritiers de la tradition des Grands pompiers et des grands «pompeurs» devant l'éternel

Nous sommes devenus lâches et paresseux
Et nos mots quand parfois nous écrivons ne sont plus qu’un jet désordonné d’invectives ordurières venues du fond noire d’une âme avortée ...
Nous n’avons connu ni guerres ni grandes causes,
L’opulence a éteint nos élans.
Sans rien à combattre,sans raison de périr
nous somme mous lâche et arrogants,
Chauve à trente cinq ans et sans enfant ,
Gros tiques suffisants et dépressifs
avec comme seul rêve de continuer à vivre une petite vie de rien....
Une vie volée aux guerriers Mongols et Bassars et à tout ceux qui portent, tirent, poussent le monde sur le bord des routes
Nous ne l’avons pas méritée , nous n’avons rien mérité mais nous voulons tout et à moindre pris même la beauté !....Mais quand elle nous voit ,effarée  elle fuit .........
Alors l’effroi nous vient face à la laideur de notre humanité,et nous gribouillons des petits cauchemars qu’on prend pour du Lovercraft, on continue nos petites déprimes jusqu'au jour ou nous inventons un bonheur de pacotille plein de Staff et de Stucs en croyant enfin plaire , mais il indiffère ...
Alors on cri à l’injustice de ne pas être dans les tablettes,
Et l’on se console avec quelques demis mondains qui achètent nos croutes du bout de leurs doigts gourds .
Puis on se regroupe en petites tribus cachées dans la foret internet ou l’on s’aime et se console dans des amours «onanistes» ...
Pendant que partout De Lomé à Guandzou la sueur et le courage continue de peindre et d'écrire le monde...